mardi 12 mars 2013

Informations importantes !

Chers visiteurs,

Comme vous l'avez sans doute remarqué, ce site est hors service depuis plusieurs mois.
Cette plateforme étant fortement instable, nous avons pris la décision d'abandonner ce site et d'en reconstruire un tout neuf !
En attendant, vous pouvez nous retrouver sur Facebook où toutes les informations concernant le Belgium Rocks Festival 2013 sont présentes.

Voici les différents liens :

Page Facebook : BELGIUM ROCKS

Page de l'évènement : BELGIUM ROCKS FESTIVAL 2013 


dimanche 16 septembre 2012

Belgium Rocks Festival : lieu et dates !

Hello everyone !

Après des semaines de recherches et de travail acharnés avec l'équipe organisatrice, on est fiers de pouvoir vous dévoiler une première information capitale concernant le Belgium Rocks Festival !

Il se tiendra les samedi 6 et dimanche 7 avril 2013 à l'Espace Georges Truffaut à Droixhe.
Rejoignez l'évènement : https://www.facebook.com/events/401440423244136/

Une superbe salle de 800 places, un bar spacieux et une scène qui séduira les artistes.
L'affiche est déjà complétée à 90% et le line-up vous sera dévoilé courant octobre. Préparez-vous, vous risquez d'être séduits !

Toutes les informations concernant le festival seront publiées sur notre Facebook, notre Twitter ainsi que sur ce site dans la rubrique "Festival".

Bien à vous,


Jérémy VAN BENEDEN                        Max DEFAYS
Rédacteur en chef                              Co-organisateur
Organisateur

samedi 1 septembre 2012

Interview de Kriss de LanguedePub qui nous parle de la Minute Papillon !


Rapide bref et concis, voilà la formule des « Minute Papillon ».

Les minutes papillon de Kriss de Languedepub sont un concentré d'humour en vidéo, mais il innove par rapport au format classique du podcast. En effet kriss incarne une foule de personnages haut en couleurs, décalés et désopilants pour notre plus grand plaisir.
Cependant, cela ne se résume pas simplement en une bonne tranche de rigolade, Kriss tout au long de ses vidéos aime lancer des pistes de réflexion (comme il l'explique dans notre interview) afin de permettre à chacun à se faire sa propre opinion sur des sujets parfois sensibles, parfois sérieux mais toujours avec humour.
Muni d'une panoplie de costumes et toujours accompagné de ses expressions fétiches, c'est avec légèreté qu'il nous fait voyager dans les différents sujets de société via des textes très bien construits.

C'est avec grand plaisir que nous avons pu lui poser quelques questions via internet auxquelles il a répondu avec beaucoup d'humour... place à l'interview !

  • Comment allez-vous ? 
Bien et vous ?

Ça va tranquilou.
  • D'où venez-vous ?
Du Beaujolais, en pleine campagne (à 50 km au-dessus de Lyon pour ceux qui ne situe pas) Au cœur des vignes et du vin !!
  • Comment vous est venue l'idée originale de la Minute Papillon ? 
Minute Papillon est né de la volonté d'exprimer mes opinions et de mélanger toutes sortes d'humour dans un même format, le podcast permet tout cela, et c'est bizarre d'en être arrivé là, à cette période, car en commençant à penser et à écrire Minute Papillon, je ne connaissais pas le format podcast !! 
  • Vous avez fait d'autres vidéos et vous vous impliquez dans certaines mini séries, pourriez-vous nous en dire plus ?

Parallèlement je fais partie de LanguedePub, Languedepub, c'est mon crew, ma team, mes potes, un collectif made in beaujolais qui propose plusieurs concepts et mini-séries ayant pour unique but de vous faire consommer du rire : Au départ on s'était lancé essentiellement dans les parodies de publicités et les fausses pubs, d'où le nom, on s'est ensuite diversifié : Ah Bah Chapeau, Minute Papillon et des parodies de film !!!
  • Les thèmes de vos épisodes sont-ils choisis longtemps à l'avance et comment vous y prenez-vous pour les choisir (actualité ou autres) ?
C'est ce qui me trotte dans la tête, je ne me limite en rien, les sujets viennent comme cela. Et non, jusqu'à maintenant, je suis plus dans la dernière minute… papillon !!
  • D'où vous vient toute cette créativité ? 
Soit de mes parents aux niveaux des gènes (innéisme), soit de mon enfance et de mon expérience (empirisme), ou alors d'un mélange des deux (regardez l'épisode #30 pour en savoir plus, voir le lien plus bas)

  • Vos épisodes sont un concentré d'humour tout le long et très souvent d'une réflexion profonde en guise de conclusion. Voulez-vous un peu faire évoluer les mentalités par cette conclusion ? 
Je ne me donne pas cette prétention, disons que j'aime lancer une piste de réflexion, libre ensuite aux gens de la suivre ou non, et si possible de se faire leurs propres opinions.
  • Le succès naissant de votre série vous fait-il plaisir (nous vous en souhaitons beaucoup plus) ? 
Bien sûr que cela fait plaisir, et cela motive pour continuer, ça donne envie de se donner à fond… je sais que je ne fais pas ça pour rien. Si je fais rire une personne c'est déjà bon pour moi !!
  • Qu'avez-vous pensé de la pub que YouTube vous a fait gratuitement ?

Je suis en très bon terme avec YouTube, et je ne les remercierai jamais assez de m'avoir donné un coup de main comme ça. Je ne suis pas forcément doué en communication et je n'ai pas envie de le devenir, je réponds aux ITW écrit comme le tien, mais pour l'instant je refuse ceux à la radio, à la télé ou même juste filmé, j'ai pas le temps et pas l'envie de me donner à fond là-dedans. Donc ce qu'a fait YouTube est plus qu'appréciable pour moi, c'est ce qu'il y a de plus dur de se faire connaître… sauf quand on montre son cul à Secret Story évidemment.
  • Idéalement jusqu'où comptez-vous porter le projet des minute papillon ? 

Je vois au jour le jour, je ne me projette pas beaucoup dans l'avenir, jusqu'à maintenant, je ne réfléchissais qu'à un épisode à la fois, je vais essayer de prévoir les deux prochains à partir de septembre, mais ça n'ira pas plus loin, j'aime bien cette liberté de l'esprit, de ne pas s'encombrer la tête avec trop de choses.


Merci à vous de nous avoir consacré de votre temps et bonne continuation.

François  Wuidard et Thibaut Delhaxhe.



Pour illustrer le phénomène quoi de mieux que quelques vidéos!

Le formatage des idées :

La drogue 1/2 :

Les questions existentielles : pourquoi et comment :

Bref, vous l'aurez compris, Minute Papillon est une série très enrichissante portée par Kriss et son équipe. A tel point que nous aimerions qu'il soit belge…

lundi 27 août 2012

Archive - With Us Until You're Dead

Ce jour devait arriver tôt ou tard, une révolution musicale se met en marche ce jour.
Les amateurs voire tous les disciples de la scène progressive attendaient avec impatience ce lundi 27 août 2012 qui annonçait la sortie officielle du nouvel album des anglais d'Archive intitulé "With Us Until You're Dead". Après leurs nombreux teasers psychédéliques ou leurs brefs commentaires entre deux sessions d'enregistrement ont bien fait saliver leurs fans, l'album était quasi attendu au tournent et la surprise fut de taille, récit d'un voyage au delà de toute raison.

Archive - With You Until You're Dead
A peine le disque démarré, me voilà déjà transporté dans une sorte de trou noir où résonne une voix lointaine, elle prend de l'ampleur pour atteindre une puissance encore jamais entendue chez l'immense Pollard Berrier qui nous offre une voix encore plus profonde, forte voire même plus mature, plus maîtrisée. Il réussi à partager avec nous une certaine tristesse, une colère enfouie qu'il exprime enfin.
Cette introduction n'était pas sans nous rappeler "Lights", ouverture de l'album du même nom avec cette mélodie répétée et intrigante.

"Wipe Out"

N'oublions pas qu'Archive est un collectif composé de cinq chanteurs et chanteuses ce qui permet à chacun de leurs morceaux de se démarquer par la voix, le style et le rythme.
Ici encore, dès "Interlace", le deuxième morceau, on ne met pas longtemps avant de reconnaître la touche un peu plus rock apportée par le merveilleux Dave Pen, sa voix, sa guitare, tout lui est propre, il offre une nouvelle trajectoire à cette album avec qui ont entame à peine le voyage.
La suite est pavée de surprise, "Stick Me In My Heart'' m'oblige même à rejouer plusieurs fois le morceau, mais où ai-je déjà entendu ce couplet ? J'ai ce nom sur le bout des lèvres, mais oui voilà, il y a clairement une inspiration issue du gigantissime "Not Gonna Get Us" du duo Russe T.a.t.u. (Here).

Je soulignerai aussi, et surtout, un retour de la violence à laquelle s'était essayé le groupe dans "Controlling Crowds" (l'album) et qui leur avait assez bien réussi. Ici, "Conflict" et "Violently" en sont deux exemples marquants. L'un avec un Dave Pen dans une forme incroyable accompagné par une batterie plus rapide et puissante que jamais. On est à peine relaxé par le synthé ambiant, sans lequel Archive ne serait pas Archive.
L'autre offerte par une Holly Martin surprenante. En effet, la nouvelle recrue du collectif était connue pour des compositions en solo bien plus paisible. Du début à la fin de ce morceau, elle nous transporte dans un monde violent duquel on essaie, tant bien que mal, de s'en sortir avec cette petite voix qui nous supplie d'y rester car on y serait trop bien. Mais qui est cette voix ? "Who the fuck?...". Le piano fou qui l'accompagne avant le retour de la quiétude est tout simplement parfait, à sa place, d'une rapidité déconcertante.
Le calme qui suit nous berce, on apprécie sans s'extasier, ce sont des petits bijoux qui font plaisir aux oreilles, des berceuses qui n'endorment pas tant on a envie de rester éveiller jusqu'à la dernière note. Et ben tiens, cela s'appelle "Calm Now", ça n'aurait pas pu être mieux intitulé.

"Violently"

Au fil de l'album, nous redécouvrons sans cesse ce groupe qui se veut toujours surprenant, à croire que la puissance les envahi de plus en plus au fil du temps, la voix de Pollard est gigantesque sur Twisting à nous en donner le tournis, alors que c'est lui qui le réclame à travers ses nombreux "Twisting me".
Il faudra attendre "Things Going Down" pour fêter le retour de Maria Q qu'on a cru ne jamais entendre dans cet album. Elle nous ensorcelle de sa voix douce et magique mais cet instant ne dure qu'une minuscule minute et cinquante seconde. C'est à nouveau Holly Martin qui prend le relais avec un timbre plus masculin, plus sérieux et moins romantique et doux que Maria, quoique. "Hatchet" peut être savourer de plusieurs manières, tantôt doux, tantôt rock, Holly est un talent confirmé.
La fin se veut encore plus axée sur le synthé du grand Danny qui se voit vite accompagné de sa bande définitivement mariée avec ce rock progressif teinté d'expérimental comme eux-seuls savent le faire.
L'album se termine en douceur, nous sommes en paix.

En conclusion, Archive a su se renouveler sans sortir de ses fondamentaux malgré l'abandon, provisoire on l'espère, de la richesse qu'apportait le rappeur Rosko John sur les albums Controlling Crowds ou Londinium, ses textes et son style particulier a un peu manqué mais cet album a tellement bien réussi à lier chacun des morceaux ensemble même si tous se démarquent clairement les uns des autres. Ce disque est une réussite totale, un mélange d'humeurs et de sentiments qui nous livre un séjour entre le fond de notre âme et quelque part dans l'univers observable. Seuls les Pink Floyd savaient pu créer des morceaux uniques, qui vous prennent aux tripes ou vous transportent dans des recoins inconnus de la galaxie. Voici leur successeurs, qui suivent leur époque tout en évitant tous les pièges.
Vous avez rendez-vous avec de la magie.

Jérémy VAN BENEDEN


With Us Until You're Dead - (c) Cooperative Music 2012

Website : Http://archiveofficial.com

dimanche 26 août 2012

Martin Solveig au Pukkelpop 2012 !


Crédits : Pukkelpop.be


Two Door Cinema Club se termine sous une chaleur de plomb… Nous savons pertinemment bien que cette dernière allait se manifester encore plus intensément une heure plus tard. D’une autre manière certes, mais… C’est à peine si nous avons le temps de retourner récupérer des forces au camping… La masse wallonne arrive et se poste fièrement au centre de la salle.
Nous attendons bien sagement que notre dévoué musicien français débarque aux platines. Sagement ? En effet, le set So Techno, Tech-House de Nina Kraviz se termine d’une manière très douce, fidèle à son style. L’heure approche, mon envie de voir Martin Solveig performer une nouvelle fois s’intensifie ! Le bordel auquel j’avais assisté l’année passée aux Francofolies de Spa en clôture de Festival m’avait laissé complètement sur le cul (passez-moi l’expression mes amis). L’attente est trop longue, l’adrénaline trop puissante dans mes veines… Que faire ? Je trépigne d’impatience, je tremble d’envie…Mais, mais, que vois-je ? Notre cher mélomane se tient bien devant mes yeux pour la seconde fois en un an. Non, tu ne rêves pas, tu vas revivre certainement le même « eargasm » qu’il y a treize mois ! Le set va démarrer.
Comme à son habitude, Martin enchaîne très rapidement les morceaux, ne gardant que les meilleurs passages de ces derniers, offrant donc au public son lot d’émotions qui atteignent leur paroxysme tellement Solveig sait parfaitement bien comment manier les foules ! Le voilà-t-il pas qu’il nous envoie un bon gros coup de poing en pleine face en droppant l’énorme tube « Spaceman » d’Hardwell, ce qui a le don de réveiller complètement les festivaliers venus en masse admirer la prestation live de ce génie de la musique électronique ! Martin a tout compris. Il n’enchaîne que des tubes électros avant de bien entendu passer ses singles personnels. « Ready to go » commence à résonner dans mes oreilles. La voix de Kele de Bloc Party booste encore un peu plus les milliers de clubbers venus s’extasier dans la Boiler en ce début de soirée !
Le set continue et… « I just came to say HELLO » ! L’énormissime tube de Solveig est en train de se jouer devant nous. Un grand moment. La foule reprend en cœur les paroles de la chanson que chante Martin en live ! Eh oui ! Votre cher rédacteur Loïc me fait remarquer qu’il voit plusieurs fois le visage de notre dj s’étonner, s’extasier, s’émerveiller devant une telle ambiance ! Car il faut l’avouer, c’était du délire complet : pogo sur pogo, égosillements de la voix, grands sauts mémorables…
Tel était le spectacle auquel Solveig a assisté pendant une heure et demi dans l’enfer du Pukkelpop !
Solveig termine, il glisse poliment un « You are the best crowd of Europe ». On pense clairement que c’est un coup de pub… il s’avère que non. Tout au long du set, Martin fut impressionné par la ferveur dont il jouissait en Belgique. Il ne manquera pas de nous comparer sur son Facebook personnel au prestigieux festival américain « Coachella ». S’il vous plaît !

Merci Martin, vraiment…

Maxime DEFAYS

Two Doors Cinema Club au Pukkelpop 2012 !

Crédit: Joris Bulckens.


C’est sous une chaleur avoisinant le 35° degrés que deux de vos chroniqueurs dévoués et en recherche de découvertes se sont rendus au concert des Two Doors Cinema Club.  Il est vrai que nous ne connaissions pas grand-chose de ce groupe irlandais mise à part une chanson ou l’autre. Le concert avait lieu sur la main stage, là ou les vrais adeptes de la musique viennent se montrer sous un soleil lourd et brûlant.  Dès les premiers coups de gratte, on peut comprendre la marque de fabrique du groupe. En effet, les Two Doors Cinema Club jouent du rock Indépendant et le 2 ème guitariste  nous joue des notes très aigues pour donner un côté remuant aux différents titres et cela marche ! Il est vrai que les musiques se ressemblent mais on peut dire aussi qu’elles s’assemblent et ce bon cocktail ne lasse pas les oreilles. Le côté remuant de chaque chanson efface toute répétition. Il arrive des fois que le chanteur change de guitare pour donner des côtés plus soutenu ou heavy aux chansons.
Seul bémol, la voix du chanteur. Impossible de définir qui est à blâmer… Le chanteur pour son manque de coffre ou les ingénieurs du son qui n’ont pas pu accorder les instruments avec la voix du leader. De même pour le snare du batteur me fit remarqué un ami percussionniste. L’ambiance du concert arrive à son apogée lorsque le groupe joue son célèbre tube « What you Know » (Here). Après avoir vibré sous  la musique de l’Euromillion, nous décidions d’un commun accord que la chaleur devenait insupportable et que nous devions retourner au camping pour prendre des forces en vue du soir. Qu’importe ! Nous avons tous été séduit par cette musique classée par la BBC entre Bloc Party et Antidotes. Nous ne connaissions que très peu de chansons, une semaine plus tard, l’album était dans notre poche ! A découvrir en profondeur !    

jeudi 23 août 2012

Digitalism au Pukkelpop 2012 !


Crédit : Jens Baert 

Après avoir passé la soirée en enfer (cf. ici) nous avons décidé d’aller récupérer nos forces au camping en vue d’aller voir Digitalism, ce duo d’allemand qui berça notre pré-adolescence aux rythmes électroniques ou encore pop-électro. Le groupe de teutons est actif depuis 2004 et nous propose une musique rythmée et entraînante  quittant ainsi (en partie) la minimale germanique et les accords tech-house.

En arrivant dans la dance hall, nous remarquons mes amis et moi que Digitalism nous balance de la house de bas étage qui pourrait ravir les novices de ce milieu tellement évasif. Sans vous le cacher, j’ai pris 30 ans dans les rides en m’apercevant que le groupe avait fait une restructuration musicale. En effet, les cotés électro étaient remplacés par des drops « minimalistiques » qui choqua la plupart des fans de la belle époque du groupe. Bien sur, un bon concert ne peut jamais être digne de porter ce nom sans quelques musiques épiques et aussi du cru ! C’est pourquoi le groupe à du employer l’artillerie lourde pour récupérer les cœurs de ses anciens fans non-adeptes de ce nouveau style employé par le duo. Soudain, premier coup de canon ! En effet, Zdarlight (Here) fait son apparition dans ce funeste set (car il faut dire qu’après Knife Party, Digitalism devient « too mainstream »). Ensuite la bouche du canon crache encore, c’est autour de Blitz (Here) de se faire propulser dans la foule totalement partagée par rapport à ce concert. Et là, obus détonant, un enchaînement de Circles (Here) et de Pogo (Here) pour mettre fin à la bataille.
Finalement, Digitalism ne me donna pas totalement l’occasion de tirer à boulets rouges (sic) sur ce live car finalement, les morceaux épiques se sont fait entendre, bien qu’on en attendait mieux de leur part.
Outre le fait que nous avons été choqué par le choix de la musique présente dans le set, notre choix de Digitalism s’est fait grandement influencé part le fait que la line-up introduisait la mention « live » à coté du nom du groupe. Pour nous, la différence entre un set et un live s’explique par la présence d’instruments pour ce dernier et non par la seule présence des membres. A moins que la mention live s’explique par la présence du micro vintage entre les 2 platines qui fut utilisé 2 fois pour que le chanteur puisse interpréter Circles ou encore Pogo. Dans le cas d’une stratégie commerciale, on aurait pu appeler ça de la publicité mensongère. Mais ne soyons pas totalement médisant ! Il est vrai que l’ambiance proposée par le duo, laissant l’assistance bouger au random, laissait à désirer. Le flegme et la passivité britannique s’est transmise au pays de la Choucroute et de la saucisse de Francfort.

Mais bon, au final, ne sommes nous pas présent à un concert pour écouter de la musique et non vibrer ? Telle devait être la façon de penser du duo ! Désolant…

Je vous conseille fortement d’acheter (légalement) leurs albums et de découvrir leurs titres à succès mais à moins que vous ayez les moyens ou que l’euro-million n’a plus de secrets pour vous, n’allez pas les voir. Surtout si le concert se déroule en même temps que Billy Talent !

Loic Van Gomp’